Pour un sourire
Je cours dans le Bois des Pins, mon h^avre en ville, mon mini Jardin du Luxembourg. J’y croise ce jour-là deux jeunes filles qui me sourient, m’encouragent, me félicitent… Il n’y a pas de quoi. Elles sont voilées, mais elles semblent sensibles à mon trot. Je leur réponds avec un “hi” et un grand sourire. Il est vrai que le trot comme le galop mettent en joie, celui qui trotte…